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Pura Aleanza serveur Hecate

Pura Aleanza serveur Hecate
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21 décembre 2012

RP de Smartwiz, membre de la guilde !

 

         

Histoire-1

 

Je suis Smartwiz, née une nuit de Déscendre 625 dans une fleur de blop au pied d'une Montagne de Cania. Le ciel était parsemé d'étoiles émettant une lumière divinement douce. Cette lumière se reflétait sur les flocons de neiges qui tombaient avec la plus grande délicatesse sur ma peau clair. Mes yeux bleus étaient submergé de larmes a la vue d'un tel spectacle. Je ressenti un frisson parcourir mon corps. Il m'étais impossible de savoir si celui-ci était dût a la fraîcheur du soir ou a l’excitation du moment. Plus il neigeait et plus mes yeux me semblait lourds, pourtant je ne voulais pas les fermer. C'était la première fois que je voyais le monde, il était si beau...Malgré tout, le bruit du vent qui faisait virevolter mes cheveux blonds et les flocons tels une nué de papillon délicats se laissant porter au grès des courant d'air frais et les murmures de la nature me berçaient, si bien que je finis par accepter de m'endormir. Je n'étais certes qu'un nourrisson, mais ces souvenirs étaient profondément encrés en moi, j’espérais simplement n'avoir pas rêvé... Durant mon sommeil, j'entendis une voix au loin, elle semblait me demander de la suivre. Naïve, je me laissais guider par le son de cette voix. Plus je l'écoutais, plus je m'approchais, et plus le monde autour de moi me paressais sombre. Contrairement a ce que j'avais pu voir auparavant, je me sentais oppressé, je sentais la panique me gagner, une réaction purement instinctive. Il fallait que je sois forte. Je ne pouvais maintenant plus faire demi-tours. Je continuais donc a suivre mon seul repaire dans cette pénombre, cette voix a la fois chaude et mystérieuse. Le sol craquait sous mes pas, l’atmosphère devenait de moins en moins respirable. A chaque inspiration mes poumons me brûlaient et le bruit de chacune de mes expirations résonnaient dans mes oreille comme le bruit d'un spectre invisible se rapprochant discrètement de moi. Puis, le silence complet, plus de voix, plus de craquements, plus de spectre. Un silence si profond qu'il renforçait d'autant plus cette impression d'étouffement. Je devait m’échapper, chaque minute, chaque seconde que je passais en ces lieux me tuait a petit feu. Je courrais pour fuir, de toute les forces qu'il me restait, manquant de chuter a plusieurs reprise. Le sol sous mes pieds m'écorchait la peau, j'avais le sentiment de courir sur un lit de ronces. Quand tout a coup, une porte. Une immense porte ornée d'arbres et de fleurs en tout genre avec en son centre un masque, rouge, jaune, noir, immense et menaçant... Je me retournais, vis ce noir qui se rapprochait tout autour de moi, et poussant de toutes mes forces, j'ouvris la porte. Je fut éblouit par une lumière aveuglante. Je venais de pénétrer dans une salle immense qui semblait sans fin. Le sol, les murs, le plafond, tout était d'un blanc immaculé, baignant dans une lumière plus forte encore que la lumière même du soleil. C'était vide. La pièce était complètement vide. A l’exception d'un socle qui trônait en son milieu. Socle sur lequel reposait un miroir doré et un bâton dont le bois était imprégné d'une puissance indescriptible. Je m'avançait vers lui, ignorant le reste et le saisi. Une magie incroyable circulait alors a travers tout les ports de ma peau. Cela dura plusieurs secondes. Plusieurs seconde durant lesquelles je ne pouvais bouger, pétrifier par cette force inconnue qui me traversait de part en part. Quand ce fut terminer, mes yeux se tournèrent machinalement vers le miroir et ce que je vis me fit sursauter. Je n'étais plus un nourrisson. Cela me semblait évident après coup car un nourrisson n'aurait jamais trouvé la force de marcher, de courir, de pousser une porte, de se saisir d'un bâton et de finalement regarder ce miroir. Mais comment expliquer cette croissance fulgurante ? La seule explication que j'ai trouvé jusqu'à ce jour, c'est que j'aurais grandit durant ma course, dans le noir complet, sans m'en rendre compte alors que je ne souhaitais que m'enfuir. Épuisée par ces bouleversements, je fermais les yeux a nouveau. A mon réveil, il faisait jours. J'étais de nouveau au pied de cette grande montagne, a coté de la fleur qui m'avait donné naissance. J'avais a présent la taille d'une fillette de 12 ans. Cependant quelque chose ici avait changé. La neige avait fondu, les rayons du soleils me réchauffaient. Doucement, je me relevais, profitant de cet instant intense, l'herbe fraîche du petit matin frétillait sous mes pieds nus. Les gouttes de rosé et les feuilles des arbres dansaient avec moi sur mon passage. Je ne pouvais l'expliquer mais j'étais heureuse. Heureuse comme personne ne l'a jamais été auparavant, heureuse de vivre, heureuse d’être libre, heureuse de revoir le monde. Tout m'émerveillais. Je commençais alors a courir, sans réelle raison, certainement pour me sentir vivante. Arrivée au bord d'un rivière, je plongeais dans l'eau clair qui dévalait le paysage. La musique des quelques vagues frappant les rochers qui dépassaient a la surface était si intense que je pouvais la comprendre, j'avais le sentiment de pouvoir communiquer. Dans un élan d’insouciance, je me mis a chanter en cœur avec elle. Cependant, je n'étais pas seule. Un inconnu se trouvait là, proche de moi. Je le savais depuis le début mais rien ne pouvait me troubler pendant ce moment d'extase. Je perçu alors entre les chants de la nature un petit ricanement strident. Intriguée, je sortis de l'eau, me séchant a l'aide d'une feuille sauvage. Puis je rendis visite a cet intrus qui perturbais mon bonheur. Ma surprise fût de taille lorsque je m'aperçus qu'il ne s'agissait que d'une petite créature d'un bleu translucide qui me regardait avec un grand sourire et des yeux pétillants de vie. Je ne savais pas quoi en penser, devais-je être vexée par ses moqueries ou bien rire de mon attitude originale avec lui ? Étant ma première rencontre, je décidais de suivre son comportement, et je me mis a rire de toute mes force. Il parut surpris, fit un bond en arrière, l'air étonné, comme s'il ne s’attendait pas a cela, et finit par rire a son tour.

 Nous étions deux, deux êtres que tout séparait, j'étais humaine et lui animal et pourtant nous nous comprenions et nous rions ensembles. On n'entendais que nous a travers les champs et les forêts de la région de Cania, seulement nous et les chants de la natures...

 Cela faisais désormais une semaine que je vivais avec mon nouvel ami Gluglu dans une cabane naturelle aménagée dans le creux d'un vieille arbre encore vigoureux. Je ne pouvais espérer meilleur logement. Il m'apportais une protection contre les prédateurs et la fraîcheur du soir. Lorsque je m'endormais près de ses racines, je pouvais ressentir chacun des mouvements de ses feuilles ainsi que la sève qui l'anime couler en lui. Je vivais en lui et pourtant il vivait en moi. Gluglu quant a lui, en profitais pour jouer dans ses lianes tant bien que mal et, en vrais ventre sur pattes, montait a sa cime pour repérer les petits biblops égarés pour n'en faire qu'une bouchée. Évidemment, une attitude si cruelle ne m'enchantais gère mais je finis par accepter que ce n'était simplement que le cycle normal de la vie. Un jour on naît, un autre on meurt... Le temps passait, je grandissait, et mon arbre faiblissait. J'étais énormément préoccupé par sa douleur, a tel point que je n'en dormais plus, cherchant par tout les moyens a faire taire ses cris de douleurs, je m’entraînais rapidement a la médecine par les plantes. Tout les jours, matin et soir, je partais a l'aventure a la recherche de plantes médicinales diverses et variées afin de concocter des remèdes en tout genre.

 Cependant, un matin, mon arbre, celui qui m'avait abrité durant toutes ces années, se consumait de l’intérieur. Je le voyais mourir lentement, il était ma seul famille. Malgré tout mes efforts, ma médecine n'était pas de taille pour le sauver. Je ne pouvais que le maintenir en vie quelques jours. Alors, dans un dernier élan d'espoir, je partit avec Gluglu a la recherche d'une solution. Je courrais a travers plaines et champs, sans jamais me retourner. Ma course dura deux journées complète, mon cœur semblait imiter les battement d'un tambour dans ma poitrine. Finalement, me laissant guidé par les courants d'air chaud, je finis par arriver devant les portes immense des remparts de la cité blanche, la cité de Bonta. Jamais encore je n'avais rencontré d'autres humains, jamais encore je n'avais eu de contact avec la civilisation. Cette ville me semblait tout de même accueillante, je décidais donc de m'y rendre. Prenant mon courage a deux mains, je pénétrais dans la grande cité, d'un air des plus confiant possible. Un élément m'a cependant tout de suite contrarié. Les gens ici portaient sur eux des accoutrements étranges, des chapeau grotesque, des capes démesurés, des souliers et des ceintures multicolore sans parler de leurs bijoux ridicule qui semblait les déranger plus qu'autre chose. Moi, j'étais nue, seulement deux feuilles reliées par une liane en guise de sous-vêtement. Je me fis rapidement remarqué dans la foule par un groupe de mercenaire armés jusqu'au dents. Ceci m’accostèrent sans plus attendre. En a peine quelques minutes, Gluglu et moi étions enfermés dans la prison de Bonta. Cette privation de liberté me semblais intolérable. Ici, le sol était mort. Je ne sentais plus les doux murmures de la natures, seulement les cris des autres détenus. Je me débattais alors contres ses barreaux qui m’empêchais d’être celle que j'ai toujours été, une femme libre et heureuse, en vain. Une nuit, alors que je tentais toujours de venir a bout de ces entraves, j’eus un pincement violent au cœur. Des larmes emplissaient petit a petit mes yeux, coulaient le long de mes joues puis finissaient par frapper le sol, brisant le silence qui régnait depuis maintenant quelques heures dans la prison. J'émis un léger gémissement, m'accroupis la tête entre les jambes. Je tremblais, je n'avais qu'une envie, hurler du plus fort que je le pouvais, mais je n'y arrivait pas. J'étais crispée, recroquevillée, je le savais... mon arbre venait de mourir... Ce fût la nuit la plus difficile qu'il m'est arrivé de passer. Aujourd'hui, il était trop tard.

Les jours suivants, je m'étais assise dans un coin de ma cellule, les yeux rivés en direction de la seule et unique fenêtre. Je restais ainsi, sans dire un mot. Gluglu non plus n'avait pas la joie de vivre, lui qui était pourtant d'un naturel très festif. Cela m'attristait d'avantage.

 La semaine suivante, a la nuit tombé, je fût convoquée dans la milice de Bonta. Je devais rencontre Amayiro. Ma peine était terminée, je devais faire signer mon certificat de prisonnière afin d’être en règle avec la justice. Je m'entretenais donc avec celui ci quand une idée me traversa l'esprit. Depuis la mort de mon arbre, j'avais perdu cette sensation, la sensation que je ressentais avec ceux que je considérais comme ma famille. Je demandais alors avec un brin de désespoir dans mes yeux et dans ma voix s'il savait comment je pouvais retrouver les miens, mon père ou même ma mère. Je n’espérais même pas de frères ou de sœurs, ni même de grand-parents, je ne désirais que trouver une personne qui me portait dans son cœur. C'est alors qu'il me répondit presque immédiatement :

« Ma tendre enfant, tu es jeune et naïve mais ta quête est noble. Les habitants de la ville de Bonta se doivent de venir en aide aux personnes égarés et c'est pourquoi je vais t'aider a trouver ton chemin. Rejoins nos rangs et ensembles, nous nous bâterons vaillamment a la recherche de ceux qui t'aiment. »

Émerveillée par ces paroles réconfortante, je m'engageais aussitôt a devenir la meilleure Bontarienne que la ville est connue.

Des années passèrent, et mes grades avec. Mon entraînement, mes soins et mes tactique de guerre avaient fait de moi la générale d'une troupe de soldats prêt a tout pour protéger leur patrie. Je n'avais jamais mis les pieds au champs de bataille mais je connaissais par cœur les techniques ennemies et les parades réalisable. Malheureusement pour moi, le sort avait décidé de m'envoyer batailler dans la lande de Sidimote de façon a intercepté les troupes ennemies avant que celle ci ne parviennent a nos terres. C'était mon premier réel combat. Le climat ici était brûlant, ce paysage volcanique, noir de cendre et rouge de lave ne laissait aucune place a la nature. Il faisait nuit, l’atmosphère était oppressante. Gluglu mon fidèle compagnon tremblait de peur derrière mes talons. En tant que générale, je n'avais en aucun cas le droit d'en faire de même. Nous nous avancions de plus en plus, et plus nous avancions, plus je me sentais mal. Ma tête tournais, mon souffle brûlait. Je revivais le rêve que j'avais fais étant plus jeune. Je finis pas perdre connaissance. Ce sont les tremblement et les gémissements de Gluglu qui me tirèrent de mon inconscience. Lorsque j'ouvris les yeux, j'eus l’impression d'être face a l'Enfer même. Des centaines de corps gisaient sur le sol si chaud qu'il faisait bouillir le sang. Un odeur nauséabonde m'enveloppa toute entière, l'odeur de la mort et des cadavres brûlant. Ma gorge était sèche, je n'entendais que des cris, des hurlements. Gluglu était là, a coté de moi. Tout mes hommes étaient morts. Je venais de réaliser l'ampleur de la guerre, je venais de comprendre les véritables intentions d'Amayiro. Nous n'étions que des appâts, des sacrifiés pour Bonta voués a une lute sans fin et sans merci. Je pris Gluglu dans mes bras en m’enfuis a toute jambes. Un sram au loin derrière moi m'avait vu fuir. Je le supposais Brâkmarien, je ne me suis donc pas retourné. Mes suppositions étaient vrais, il était bien Brâkmarien. Mon statut de générale faisait de moi une prisonnière intéressante. J'avais en effet de multiples informations en ma disposition. Et ça, Bonta comme Brâkmar le savaient bien. Lorsque la nouvelle de ma désertion fut transmise a Bonta, je savais qu'ils tenteraient de me retrouver. J'en connaissais trop, et ils ne pouvaient se permettre de prendre le risque que ces informations soient divulgués. Les brâkmarien quant a eux, suivait ma trace depuis bien longtemps dans le but de me faire parler. Par pur instinct, je fuyais en direction de mon lieu de naissance, lieu ou tout avait commencé. Sur ma route je rencontrais de nombreux assassins, tous dupés mes techniques naturelles, aucun ne parvint a m'achever. Certains ont bien réussi a me blesser plusieurs fois mais la nature qui m’entourais me venais en aide quoi qu'il arrive. J'appris donc a invoquer des ronces meurtrières, des poupées protectrice qui relayaient Gluglu pour veiller sur moi dans mon sommeil ou encore des arbres nourrissant qui me permettais de survivre peu importe les lieux où je me trouvais. Je finis par atteindre mon but, j'étais de retour chez moi. Alors que je contemplais ce qu'il restait de mon arbre, toujours majestueux même après sa mort, la neige se mit a tomber. Nous étions de nouveau en Déscendre, je ne sais plus quel jours exactement. Un épais manteau blanc recouvra très vite la région. Un larme coula le long de ma joue. J'étais de a nouveaux heureuse. Je n'aurais pu imaginer plus beau spectacle pour faire le deuil de la plus belle des création des Dieux, mon arbre en personne. Tandis que mes plumes d'anges s'envolaient dans ce ciel blanc, émettant le doux bruit d'un glas chaque fois qu'elles finissaient par toucher le sol, je m’aperçus de la présence d'un manuscrit a l'endroit ou je m'endormais étant enfant. Sur la couverture était écrit : « Le soulier de Sadida » Je pris le temps de l'ouvrir et de le contempler, seule avec Gluglu. Lisant chaque page avec tellement de concentration que j'en perdais la notion du temps.

 Arrivé a son terme, mes idées devinrent très claires.

«Je suis Smartwiz, et je suis une disciple de Sadida. Désormais mon seul et unique but sera de retrouver ma famille, peut importe le prix a payer. A tout ceux qui désirent entraver ma route, sachez que rien n’arrête la fougue du vent, le ruissellement de la rivière ou même la croissance des plantes. Je comprends la nature, elle me comprend aussi. Nous sommes deux mais nous ne faisons qu'un !»

 

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18 décembre 2012

Nouveau look pour Nowel !

Pour Nowel, la meneuse adopte un nouveau look ! 

Je vous laisse voir par vous même ! :P 

Nowel

 

10 décembre 2012

Ile de Nowel !

concours_noel

Tres prochainement, l'ile de Nowel devrait ouvrir ses portes en Amakna.

A cette occasion, la guilde Pura Aleanza vous proposera chaque jours, de l'ouverture a la fermeture, une ou plusieurs sorties sur l'ile afin de profiter au maximum de l'évenement.

A tres bientot sur l'ile de Nowel !

9 décembre 2012

Event à Amakna !

Aujourd'hui, Dimanche 9 Décembre 2012 a eu lieu un évenement au chateau d'amakna.

Pour tout les membres qui n'auraient pas pu y assister, voici en exclusivité des screens officiels de cette soirée magique !

Amusez vous bien ;P !

event 2

event 10

event 32

event 34

event 41

 J'ai fais un total de 44 screens pour cet evenement, il va de sois que j'ai selectionné les plus pertinants ! 

Je reste prete pour en poster d'autre selon la demande :)

9 décembre 2012

Bienvenue sur la page officielle de la guilde Pura Aleanza

Sans-titre-2

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